Précarité énergétique : comprendre, agir et s'informer
En 2022 en France, plus de 3,2 millions de ménages¹ se trouvaient en situation de précarité énergétique et peinaient à se chauffer correctement ou à payer leurs factures d’énergie mensuellement. La précarité énergétique peut mener à choisir entre comme se nourrir ou se chauffer. Face à cette réalité peu visible mais bien présente, Ohm Énergie vous apporte quelques suggestions pour tenter d’alléger vos factures et de réduire l’impact de la précarité énergétique sur votre quotidien.
Sommaire
Ce qu’il faut retenir :
- En France, 3,2 millions de ménages sont en situation de précarité énergétique, et 1 million de ménages cumulent difficultés économiques et inconfort thermique.
- Elle se mesure via trois indicateurs : taux d’effort énergétique, ressenti du froid et critère bas revenus/dépenses élevées.
- Les passoires énergétiques concernent 17 %² des résidences principales.
- Les principales causes sont le logement mal isolé, les faibles revenus et la vulnérabilité des occupants.
- Les conséquences sont sanitaires, financières et sociales, mais des aides existent pour y faire face.
Quelle est la définition de la précarité énergétique ?
Selon la loi du 10 juillet 2010 (appelée loi Grenelle 2) la précarité énergétique se définit comme suit :
« Est en situation de précarité énergétique […] une personne qui éprouve dans son logement des difficultés particulières à disposer de la fourniture d’énergie nécessaire à la satisfaction de ses besoins élémentaires en raison de l’inadaptation de ses ressources ou de ses conditions d’habitat« .
Cette précarité est mesurée à travers trois indicateurs complémentaires :
1. Le taux d’effort énergétique (TEE) : cela touche 2,8 millions de foyers.
2. Le ressenti du froid : selon le médiateur national de l’énergie, « 41 % des Français qui ont eu froid en 2024 l’expliquent par la nécessité de limiter le chauffage pour des raisons financières.«
3. Le critère bas revenus / dépenses élevées (BRDE) : environ 4,3 millions de ménages sont dans ce cas.
Selon l’ONPE, 3,2 millions de ménages vivent en situation de précarité énergétique sur au moins l’un de ces trois indicateurs, c’est-à-dire qu’ils peinent à se chauffer correctement ou à payer leurs factures d’énergie.
Parmi eux, 1 million de foyers cumulent à la fois des difficultés économiques et un inconfort thermique : c’est le cœur du problème. La précarité énergétique touche plus d’un foyer sur cinq en France. Elle est souvent invisible, mais ses conséquences sont bien réelles : froid en hiver, factures trop lourdes, et qualité de vie dégradée.
💡 Le conseil Ohm Énergie
Si vous vous reconnaissez dans cette situation et rencontrez des difficultés pour régler vos factures d’énergie, n’attendez pas d’être en situation d’impayé pour contacter votre fournisseur. Chez Ohm Énergie, nous pouvons vous proposer des solutions adaptées : une offre d’électricité plus avantageuse, un étalement de vos paiements ou un accompagnement en cas de factures déjà en retard.
Comment payer moins cher son énergie pour éviter la précarité énergétique ?
Rénover son logement pour une meilleur isolation
Vous l’aurez compris, aménager son logement et surtout améliorer son isolation sont essentiels pour réduire drastiquement les factures d’énergie et se sentir mieux chez soi.
Pour vous accompagner, certaines aides publiques liées à la rénovation énergétique ont vu le jour. Parmi elles, on compte les aides de l’Agence Nationale de l’Habitat – ANAH (telles que MaPrimeRenov’), l’Éco-PTZ, le dispositif des Certificats d’Économies d’Énergies.
- MaPrimeRenov’ : c’est une aide financière accordée par l’ANAH destinée à soutenir les travaux de rénovation énergétique dans les logements, qu’il s’agisse d’isolation, de chauffage ou de ventilation. Elle est accessible à tous les propriétaires, avec un montant variable selon les revenus, la nature des travaux et les économies d’énergie réalisées. => En savoir plus sur l’aide MaPrimeRenov’
- L’Éco-PTZ : c’est un prêt sans intérêt destiné à financer des travaux de rénovation énergétique dans un logement de plus de deux ans. Il est accessible sans condition de ressources et peut couvrir jusqu’à 50 000 € de travaux, remboursables sur 15 à 20 ans selon les cas.=> En savoir plus sur l’Éco-PTZ
- Les Certificats d’Économies d’Énergies : c’est un dispositif poussant les fournisseurs d’énergie à aider au financement des travaux de rénovation énergétique chez les particuliers.L’aide peut prendre la forme de primes, de bons d’achat ou de remises, et est accessible à tous, sans condition de revenus.
- Aussi, n’hésitez pas à vous renseigner auprès de votre collectivité locale qui peut, dans certains cas, vous proposer les aides mises en place localement.
Se tourner vers les aides publiques pour un accompagnement financier
Si vous ressentez la nécessité d’être accompagné financièrement, ci-dessous voici les aides disponibles pour le paiement de vos factures d’énergie
Dans les aides publiques au paiement des factures d’énergie, on compte notamment le chèque énergie, le Fonds de Solidarité Logement ou encore les aides financières liées à l’énergie des CCAS.
- Le chèque énergie : c’est une aide financière allant de 48 € à 277 €, accordée sur des critères de revenus et de composition du foyer par le ministère de la Transition écologique.
- Le Fonds de Solidarité Logement : présent dans chaque département, le FSL peut accorder une aide financière pour faciliter l’accès ou le maintien dans un logement. Il peut couvrir divers frais comme le dépôt de garantie, les factures impayées ou les équipements de première nécessité.
Choisir un fournisseur d'électricité ou de gaz moins cher
Par ailleurs, l’un des moyens les plus efficaces pour alléger vos dépenses en électricité et en gaz est de choisir un fournisseur d’énergie à prix compétitif. Chez Ohm Énergie, nous nous engageons à préserver votre budget en proposant parmi les offres de gaz et d’électricité les moins chères.
Il n’y a pas de coupure d’électricité pendant la trêve hivernale
C’est d’une part rassurant, et d’autre part bon à savoir : les fournisseurs d’électricité n’ont pas le droit de couper l’électricité des usagers en situation d’impayé, pendant la période de trêve hivernale. Pour 2025 – 2026, cette période s’étend du 1er novembre 2025 au 31 mars 2026. Si vous êtes bénéficiaire du chèque énergie, vous ne pouvez pas subir non plus de réduction de puissance de compteur. Dans le cas inverse, le fournisseur peut demander :
- Une réduction de puissance à 3 kVA pour les contrats supérieurs ou égaux à 6 kVA ;
- Une réduction à 2 kVA pour les contrats inférieurs à 6 kVA.
Adopter des gestes éco-responsables pour réduire sa consommation
Enfin, il est bon de rappeler qu’un kilowattheure non consommé est aussi un kilowattheure non facturé. Adopter une consommation d’énergie plus mesurée peut donc contribuer à alléger vos factures. Pour cela, voici quelques astuces à appliquer quotidiennement et qui vous aideront à réduire vos factures :
- Éteindre les appareils électriques et lumières lorsqu’ils ne sont pas utilisés ;
- Utiliser des multiprises à débrancher le soir avant d’aller dormir ;
- Investir dans de l’électroménager avec une étiquette énergétique classée A ;
- Faire fonctionner les appareils électriques pendant les heures creuses, etc.
=> Ohm Énergie vous explique tout sur : Comment bénéficier d’une remise de l’état sur vos factures d’énergie ?
Chiffres clés : la précarité énergétique en France
Voici, selon le dernier rapport de l’ONPE, quelques chiffres clés sur l’étendue de ce phénomène en France.
Estimation de ménages en situation de précarité énergétique selon le TEE
TEE – Quésaco ?
Le taux d’effort énergétique (TEE_3D), calculé chaque année par le ministère de la Transition énergétique grâce au modèle Prometheus, permet d’identifier les ménages en difficulté face à leurs dépenses d’énergie. Selon cet indicateur, un foyer est considéré en précarité énergétique s’il consacre plus de 8 % de ses revenus à chauffer et alimenter son logement, et que son revenu par personne (en unité de consommation) se situe parmi les 30 % les plus modestes en France.
PROMETHEUS (Programme de Microstimulation des Énergies du Transport et de l’Habitat pour Évaluation) est un outil développé par l’État permettant d’estimer quels foyers sont en situation de précarité énergétique.
En 2022, selon le dernier rapport de l’ONPE, 3,2 millions de ménages sont en situation de précarité énergétique en France métropolitaine. Pour cet indicateur, le chiffre a diminué de 0,8 % depuis 2021 et quasiment 1,8% depuis 2015, malgré la hausse des prix de l’énergie. Cette baisse s’explique principalement par :
- Une année exceptionnellement chaude, qui a réduit l’usage du chauffage ;
- Une baisse globale de la consommation d’énergie ;
- Une hausse des revenus des ménages modestes.
Estimation de ménages en situation de précarité énergétique selon le ressenti du froid
Le ressenti du froid, quésaco ?
Le baromètre énergie-info, mené par le médiateur national de l’énergie auprès de plus de 2 000 personnes, capte ce que les statistiques classiques ne voient pas : le ressenti du froid chez soi.
Cet indicateur subjectif repère les situations d’auto-restriction, quand on se prive volontairement de chauffage pour économiser. Un ménage est considéré en précarité énergétique s’il déclare avoir eu froid chez lui pendant au moins 24h durant l’hiver précédent.
Selon l’ONPE, environ 30 % des Français déclarent avoir ressenti du froid dans leur logement pendant au moins 24 heures durant l’hiver de 2023‑2024. Parmi eux, 41 % attribuent cette sensation à des restrictions volontaires du chauffage pour des raisons financières.
Les autres motifs invoqués sont :
- Une isolation insuffisante du logement (environ 32 %) ;
- Une participation volontaire à la sobriété énergétique (environ 24 %) ;
- La rigueur de l’hiver (environ 21 %).
Selon le dernier rapport de l’ONPE, 17 % des résidences principales sont des passoires énergétiques. Les passoires énergétiques sont des logements ayant obtenu une étiquette F ou G sur le diagnostic de performance énergétique. En principe, il s’agit de logements dans lesquels la consommation de chauffage est excessive en hiver, à cause d’une mauvaise isolation. Afin de limiter l’aggravation de ce phénomène, la Loi Climat et Résilience interdit la location des logements classés G depuis le 1er janvier 2025, les logements classés F suivront en 2028. Cela vise à encourager les travaux de rénovation énergétique pour garantir des conditions de vie plus décentes aux occupants.
Sachez qu’il existe des aides à la rénovation énergétique comme par exemple les Certificats d’Économie d’Énergie, ou encore la prime « Coup de Pouce Chauffage ».
CEE et Prime « Coup de Pouce Chauffage », c’est quoi au juste ?
Aide financière | Pour qui et par qui ? | Pour quels travaux ? | Pour quels montants ? |
|---|---|---|---|
CEE | Pour les propriétaires ou locataires d’un logement (résidence principale ou secondaire) construit depuis plus de deux ans L’aide peut être accordée par n’importe quel fournisseur d’électricité, de gaz ou GPL, de fioul domestique, de chaleur. | Plusieurs types de travaux sont éligibles au dispositif CEE, de l’isolation des murs à la production d’eau chaude. Dans tous les cas, il doit s’agir de travaux visant à l’amélioration de la performance énergétique du logement. | Les fournisseurs d’énergie sont libres de choisir le montant qu’ils souhaitent accorder aux clients. C’est la riason pour laquelle nous vous conseillons de comparer et d’effectuer des simulations chez différents fournisseurs. |
Prime « Coup de Pouce Chauffage » | Pour les propriétaires ou locataires (avec accord du propriétaire), pour une résidence individuelle, principale ou secondaire, construite depuis plus de deux ans. | La prime aide à couvrir les frais visant au remplacement d’une chaudière charbon, fioul, gaz ou condensation, vers l’un des système suivant moins énergivore. | Entre 500 euros et 5 000 euros, selon le type de travaux à réaliser et les revenus du foyer. |
Vous pouvez également utiliser le simulateur France Rénov’ pour connaître avec exactitude les montants et les aides auxquels vous êtes éligibles :
=> J’accède au simulateur France Rénov’
=> En savoir plus sur les boulloires thermiques, ces logements qui laissent passer la chaleur et rendent le quotidien difficile en périodes caniculaires.
Que faire si on habite dans un logement qualifié de passoire énergétique ?
Habiter dans un logement qualifié de passoire énergétique (étiquette F ou G au DPE – Diagnostic de performance énergétique) peut avoir un impact important sur la facture énergétique, le confort et même la santé. Voici les principales démarches et solutions possibles si vous êtes dans cette situation :
Identifier la performance réelle de votre logement
- Vérifiez si le logement a un DPE (Diagnostic de performance énergétique) à jour.
- Si vous êtes locataire, le bailleur est obligé de vous fournir ce document.
- Si le logement est classé F ou G, il est officiellement considéré comme une passoire thermique.
Parler au propriétaire (si vous êtes locataire)
- Informez votre bailleur de la situation : il a l’obligation légale de proposer un logement décent, y compris sur le plan énergétique.
- Depuis 2023, certains logements classés G sont interdits à la location (seuil renforcé en 2025 puis 2028 pour les F).
- Le propriétaire peut être incité (ou contraint) à faire des travaux de rénovation énergétique.
Contacter un conseiller France Rénov’
- Le service public France Rénov’ propose un accompagnement gratuit pour : évaluer les travaux à réaliser, estimer les aides financières disponibles, trouver des professionnels certifiés.
Numéro national : 0 808 800 700 (service gratuit + prix appel)
Site : france-renov.gouv.fr
Vérifier votre éligibilité aux aides financières
Selon que vous êtes propriétaire occupant, bailleur ou copropriétaire, plusieurs aides peuvent financer les travaux : MaPrimeRénov’, l’Éco-prêt à taux zéro (éco-PTZ), les aides des collectivités locales, les Certificats d’économies d’énergie (CEE), etc.
En cas de litige ou d’inaction du propriétaire
- Si votre propriétaire refuse d’agir malgré une situation de précarité énergétique
- Contactez un conseiller ADIL (Agence départementale d’information sur le logement).
- Vous pouvez saisir la juridiction compétente pour demander une mise en conformité du logement.
- Les services d’hygiène ou de salubrité de la mairie peuvent aussi être sollicités.
En attendant une rénovation
- Isolez certaines parties de la maison grâce à des rideaux thermiques, des bas de porte.
- Baisser la température à 17°C dans les chambres, 19°C dans les pièces à vivre (1ºC de moins, c’est 7% d’énergie économisée, selon l’ADEME⁵).
- Aérer pour éviter l’humidité à l’intérieur du logement.
- Demandez un accompagnement social ou énergétique si vous avez des difficultés de paiement.
Quelles sont ses causes principales de la précarité énergétique ?
Logements mal isolés et mauvaises performances énergétiques
De nombreux logements sont des passoires thermiques. Au 1er janvier 2024, ce nombre est estimé à 5,8 millions (15,6 % du parc – résidences principales, résidences secondaires, logements vacants) contre 6,6 millions (17,8 %) en 2023, soit une baisse d’environ 11 %.
La mauvaise isolation de ces logements augmente les pertes de chaleur en hiver, et rend le logement plus coûteux à chauffer.
Que faire dans ce cas ? => Parlez-en au propriétaire du logement pour qu’il entame des travaux de rénovation énergétique dans le logement. Si ce dernier ne souhaite pas intervenir et que le logement est réellement qualifié de passoire énergétique, alors vous pouvez entamer les démarches expliquées plus haut (contacter l’ADIL de votre commune pour savoir exactement quelles sont les obligations de votre propriétaire, notamment).
Les faibles revenus
La précarité énergétique est souvent liée à des revenus trop faibles ou en baisse. Cette situation peut faire suite à un événement de vie (séparation, maladie, retraite, etc.). Elle peut aussi être liée à un déménagement dans un logement mal isolé, à une hausse du coût de l’énergie, par exemple. Néanmoins, sachez dans ce dernier cas que le fournisseur d’énergie est tenu de vous informer au moins 30 jours avant l’application des nouveaux tarifs, de leur évolution.
Que faire dans ce cas ? => dans ce cas, vous pouvez vous tourner vers le Centre communal ou intercommunal d’action sociale (CCAS/CIAS) de votre ville. Ces centres veillent à la non-exclusion et peuvent être une aide pour trouver une aide sociale / financière pouvant vous convenir. Par ailleurs, si vous êtes bénéficiaire du chèque énergie et que vous ne l’avez pas reçu, vous pouvez appeler le numéro vert au 0 805 204 805.
Enfin, avant de vous retrouver en situation de facture impayée chez votre fournisseur d’énergie, contactez-le pour lui faire part des difficultés de paiement que vous rencontrez, qu’elles soient permanentes ou temporaires.
Les personnes vulnérables ou fragiles
Certaines personnes sont plus vulnérables face à la précarité énergétique. Par exemple, les personnes âgées ou malades sont plus sensibles au froid et à l’humidité rendant leur tolérance au froid moins supportable. De plus, les personnes qui passent beaucoup de temps chez elles (en raison d’un handicap ou de l’inactivité) consomment plus d’énergie, augmentant de fait, leurs factures.
Que faire dans ce cas ? => Adaptez votre logement au maximum pour èviter les pertes de chaleur. Par exemple, vous pouvez installer des bas de portes, installer des rideaux épais et thermiques ou encore utiliser des systèmes D pour le chauffage (chauffage d’appoint, poêle à pétrole – si ces systèmes sont assez énergivores, ils peuvent permettre de se réchauffer rapidement sans pour autant devoir chauffer toute la pièce). Pour limiter les factures, de nombreux ménages réduisent le chauffage, générant de l’inconfort, voire du froid réel.
Quelles sont ses conséquences sanitaires et sociales ?
Les conséquences de la précarité énergétique sont nombreuses. Elle entraîne d’abord des difficultés financières : lorsque les revenus sont faibles et que le logement est mal isolé, les factures d’énergie deviennent difficilement payables.
Cela oblige parfois les ménages à faire des choix entre se chauffer et couvrir d’autres besoins essentiels comme se nourrir. Ces arbitrages peuvent mener à des impayés de facture, à l’endettement ou au recours à des emprunts – qui nous endettent encore plus – pour faire face.
En parallèle, les tentatives pour réduire la consommation d’énergie. Par exemple, se priver de chauffage, calfeutrer les aérations ou utiliser des chauffages d’appoint inadaptés, peuvent aggraver l’état du logement. Ces pratiques favorisent l’humidité, la formation de moisissures, une mauvaise qualité de l’air intérieur, et peuvent mener à des problèmes sanitaires. Le froid et l’humidité peuvent causer fatigue, stress, troubles respiratoires ou maladies chroniques.
Enfin, la précarité énergétique a aussi des conséquences sociales. Vivre dans un logement dégradé peut provoquer de la gêne et un certain repli sur soi, notamment lorsqu’on n’ose plus recevoir chez soi.
Sources
¹ ONPE – Observatoire National de la précarité Énergétique : Tableau de bord de l’ONPE 2024
² ONPE : Rapport – Le parc de logements par classe de performance énergétique au 1er janvier 2022
³INSEE – Institut national de la statistique et des études économiques : L’essentiel sur… la pauvreté
⁴Observatoire des inégalités : L’échelle des revenus de l’Observatoire des inégalités
⁵ADEME : Quelques astuces pour économiser l’énergie
ONPE : Les fiches aides de l’ONPE
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