Et si vous passiez à l’autoconsommation ?

Si nous vous parlons d’autoconsommation, vous allez sûrement me répondre « l’auto-quoi » ? À moins que vous soyez déjà un adepte, et dans ce cas : félicitations !

Ce terme un peu long pourrait très certainement vous rapporter de nombreux points au Scrabble, mais avant tout, il s’agit d’une solution qui vous permet d’être en partie autonome dans votre production d’électricité.

Sommaire

Alors concrètement, l’autoconsommation c’est quoi ?

L’autoconsommation est une méthode qui vous permet de produire votre propre électricité, de manière verte et écologique. En d’autres termes, vous consommez ce que vous produisez : l’électricité est directement utilisée pour alimenter vos appareils électriques et vous pouvez vendre le surplus.

Pour cela, on passe par l’énergie solaire qui est une source inépuisable via l’installation de panneaux photovoltaïques – et chez Ohm, nous proposons des boîtiers intelligents pour une consommation optimisée et une activation automatique des appareils énergivores.

Pour la petite histoire, avant 2015, l’autoconsommation ne représentait que 5 % des projets solaires, car il était plus rentable de revendre son énergie plutôt que de la consommer, alors que depuis 2019, il occupe 95 % du marché. Pas mal, nan ?

Pourquoi sauter le pas de l’autoconsommation ?

Il existe de multiples raisons de sauter le pas de l’autoconsommation solaire.

Le premier est la partielle autonomie que cela vous apporte, ce qui va bien évidemment arranger votre porte-monnaie. En ces temps où les prix de l’énergie ne cessent d’augmenter, pouvoir être son propre producteur devient gage de sécurité et de stabilité. Vous êtes moins dépendant des variations tarifaires et payez donc moins chères vos factures à la fin du mois. De plus, le fait de pouvoir revendre une partie de votre électricité, vous assure un financement et une rentabilité de votre projet plus rapide.

À titre d’information, “depuis 2018, produire de l’électricité chez soi (environ 9 c€/kWh), coûte deux fois moins cher que de l’acheter au réseau (environ 18 c€/kWh)“. Source : ComWatt

Ce qui nous amène au second argument : vous contribuez au développement des énergies vertes ! Si vous voulez du local et êtes soucieux de la provenance de l’électricité, l’autoconsommation est le nec plus ultra. Avoir des panneaux solaires chez soi, c’est un peu comme cultiver son propre jardin. On apprend forcément à consommer autrement, on en estime davantage la valeur, en plus que ce soit une satisfaction personnelle de « faire soi-même ». Vous en connaissez beaucoup vous, des personnes qui peuvent se vanter de produire leur propre énergie et de la vendre à leurs voisins ? 😉 L’autoconsommation, c’est faire un pas supplémentaire vers l’écologie et l’environnement.

Et la cerise sur le gâteau, l’installation de panneaux solaires apporte une plus-value à votre bien immobilier au moment de la revente.

L’autoconsommation, est-ce fait pour moi ?

Même si on aimerait vous répondre immédiatement « OUI », on a d’abord quelques questions à vous poser :

Êtes-vous propriétaire ?

Pour se lancer dans ce beau projet, il s’agit de la condition numéro 1. Mais si vous êtes locataires, vous pouvez toujours en toucher deux mots à votre bailleur pour le convaincre… On sait jamais, avec un peu de chance, vous pourrez même négocier le prix de votre électricité.

Êtes-vous en maison ?

Si vous êtes en maison, c’est bien évidemment l’idéal puisque vous serez seul décisionnaire – en dehors de votre conjoint bien entendu ! Mais si vous êtes en appartement, rien n’est impossible pour autant, il suffira de soumettre ce projet en AG.

Votre toit, est-il suffisamment ensoleillé ?

Votre localisation et votre exposition sont les deux autres points importants à prendre en considération. Il est évident que vous aurez un meilleur rendement en étant à Marseille et exposé plein sud, qu’à Lille. Mais quand on sait qu’à Torshavn au Danemark, il n’y a que 35 jours d’ensoleillement par an, ça permet de relativiser les 67,5 jours dans le nord – ça représente tout de même 1 620 heures.

Bref, l’essentiel est que votre toiture ne soit pas entourée d’arbres ou de zones ombragées.

Bon à savoir : si votre toiture n’est pas orientée au sud, l’est et l’ouest feront un excellent second choix. Ils ne représentent qu’une baisse de productivité de seulement 10 % !

La seule exposition à proscrire est bien entendu le nord.

Votre chauffage, est-il électrique ?

Étant donné que le chauffage représente 60 % de la consommation électrique (Source : ADEME), ce projet sera plus intéressant si vous chauffez via cette source d’énergie plutôt qu’au gaz par exemple.

Ensuite, en fonction de la superficie de votre logement et de vos besoins en consommation, à vous de déterminer le nombre de panneaux solaires que vous souhaitez. A titre indicatif, pour produire 6kWc, il vous faudra 16 panneaux qui occuperont environ 30 m2.

Si vous répondez positivement à toutes ces questions, n’hésitez plus ! Sinon, on vous laisse peser le pour et contre, après avoir demandé votre devis.

Pourquoi est-ce plus avantageux de passer par un fournisseur d’électricité tel que Ohm Energie pour l’installation de panneaux solaires ?

Avant que les panneaux solaires n’arrivent jusque chez vous, il se passe beaucoup de choses et les acteurs sont nombreux : fabricants, grossistes, installateurs et on en passe. En tant qu’intermédiaire, nous faisons le lien entre les différents acteurs qui ont déjà fait l’objet d’une sélection et d’une attention particulière. Ainsi, vous avez la garantie de ne pas vous tourner vers des acteurs frauduleux, ce qui est pour vous un gage de sérénité et de sécurité. ✌

De plus, la réglementation et les procédures administratives peuvent être complexes pour celui qui ne s’y connaît pas, entre l’autorisation d’urbanisme auprès de la Mairie, le raccordement, l’attestation de conformité… Bref, de quoi vous donner un bon mal de crâne. On vous épargne le cachet d’aspirine, puisqu’on s’occupe de tout !

Mais tout ça a forcément un coût ?

On ne va pas vous prendre pour des pigeons : bien sûr que l’installation va vous demander un (petit) investissement. Comme lors d’un achat immobilier, d’une voiture ou de la PS5, il ne faut pas seulement voir le coût initial, mais ce que cela va vous apporter au quotidien (si vous avez oublié, on vous renvoie au début de l’article) et la rentabilité sur le long terme.

La bonne nouvelle, c’est que les panneaux photovoltaïques ne coûtent pas aussi chers qu’une voiture neuve et qu’en plus vous les garderez plus longtemps – 25 ans, facile !

Si c’est un projet qui vous tente, sachez que des solutions de financement existent grâce à la prime à l’investissement et la vente du surplus. Un retour sur investissement est possible dès 7 ans, ce qui vous laisse une bonne marge pour ensuite pleinement en profiter.

Est-ce que ça ne serait pas le bon moment d’investir ?

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Article à la une
– Offres à Prix fixe de la part de l’électricité et/ou du gaz :
Ces offres garantissent que les modalités et conditions contractuelles, y compris le prix, demeurent inchangées pendant toute la durée du contrat, en dehors des évolutions :
  • de la fiscalité applicable ;
  • du tarif d’acheminement ;
  • et des composantes du prix ayant pour objet la répercussion sur le consommateur d’obligations réglementaires reposant sur les fournisseurs de gaz naturel et d’électricité non connues ni anticipables lors de la prise d’effet du contrat.
– Offre à prix fixe tout compris :
Les offres de cette typologie disposent d’un prix fixe sur toute la période d’engagement du contrat, sauf pour tenir compte des évolutions de la fiscalité applicable.
– Offre indexé sur le TRVE
Dans ces offres l’ensemble du prix (abonnement et consommation) suivent les mêmes variations que l’option du TRVE utilisée comme référence, pour chacun des postes saisonniers de l’option. Le TRVE évolue en février et en août chaque année.
– Offre indexé sur le PRVG
Dans ces offres l’ensemble du prix (abonnement et consommation) suivent les mêmes variations que l’option du PRVG utilisée comme référence. Le PRVG évolue tous les mois.
– Offre indexé sur des références de prix du marché
Le prix varie selon des indices de marché librement accessibles comme la référence de coûts d’approvisionnement du gaz, le prix de gros du gaz (Point d’Echange Gaz ou PEG, Title Transfert Facility ou TTF) ou les indices INSEE. Le fournisseur doit préciser la fréquence des évolutions tarifaires. Pour de telles offres, l’indexation peut concerner une partie du prix (uniquement l’abonnement, ou bien seule la part énergie) ; pour autant, les conditions d’évolution de l’ensemble du prix doivent être explicitées par le fournisseur.
– Offre à tarification dynamique
Les prix reflètent les variations en temps réel des marchés de l’énergie. Le fournisseur s’engage à préciser la fréquence exacte d’évolution des prix au consommateur lors de la souscription de l’offre. Ces offres sont destinées aux consommateurs qui peuvent déplacer un certain nombre de leurs consommations et sont donc ouverts à la variabilité du prix de leur énergie.
– Autres offres
Cette catégorie regroupe les offres ne correspondant à aucune des précédentes. Elle inclut notamment les offres dont le fournisseur peut librement modifier le prix une ou plusieurs fois par an ou dont l’engagement sur le prix est inférieur à 12 mois.