Pompe à chaleur prix : combien coûte une PAC et quelles aides existent ?
Laissez-nous deviner : vous envisagez de troquer votre vieux système de chauffage contre une pompe à chaleur 2.0, 100 % écologique et 100 % économique ? Enfin, économique, ça, ça reste à voir. En effet, avant de vous lancer dans la PAC, mieux vaut vous assurer au préalable que vous n’y laisserez pas tout votre pécule. Alors, quel est le prix d’une pompe à chaleur ? Existe-t-il des aides disponibles afin d’amortir votre investissement ? On vous dit tout !
Sommaire
Prix d'une pompe à chaleur : quels sont les coûts à prévoir ?
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Avant de vous lancer, il est évidemment à noter que le prix d’une pompe à chaleur dépend de plusieurs facteurs, à commencer par son type. Eh oui, qui dit PAC dit « grande famille ». Au sein de cette famiglia, on distingue donc :
1. Les pompes à chaleur aérothermiques, qui puisent l’énergie dans l’air extérieur et qui rassemblent :
- Les pompes à chaleur air-air ou climatisations réversibles ;
- Les pompes à chaleur air-eau.
2. Les pompes à chaleur hydrothermiques, qui puisent la chaleur dans une source d’eau, d’où leur nom : pompes à chaleur eau-eau.
Une fois au clair avec la nature de votre PAC, vous pourrez vous attaquer à la question fondamentale de son prix.
Le prix d'achat d'une pompe à chaleur selon son type
Pour une pompe à chaleur aérothermique
En bref, une pompe à chaleur aérothermique est un dispositif de chauffage écologique et économique qui puise son énergie dans l’air extérieur. Son fonctionnement repose sur un principe simple, mais ingénieux : elle capte les calories présentes dans l’air, même lorsque les températures sont basses, pour les transformer en chaleur destinée à chauffer un bâtiment ou produire de l’eau chaude sanitaire.
Concrètement, l’appareil extrait les calories de l’air extérieur via un fluide frigorigène qui circule dans un circuit fermé. Ce fluide, en se comprimant, augmente sa température pour libérer de la chaleur. Chaleur qui est ensuite diffusée dans le logement, soit par un système de radiateurs, de planchers chauffants, ou directement sous forme d’air chaud (dans le cas d’une pompe à chaleur air-air).
L’aérothermie présente plusieurs avantages. Non seulement elle permet de réduire significativement la consommation d’énergie par rapport aux systèmes de chauffage traditionnels, mais elle est aussi respectueuse de l’environnement, car elle utilise une ressource renouvelable : l’air. De plus, elle peut réversiblement fonctionner comme climatiseur en été !
Toutefois, l’efficacité de ce type de pompe à chaleur dépend de la température extérieure. Elle est plus performante dans les régions où les hivers sont modérés, bien qu’il existe des modèles capables de fonctionner jusqu’à des températures extérieures très basses. Côté prix, il faut plutôt compter sur les fourchettes suivantes :
Type de PAC aérothermique | Prix moyen (hors pose) |
PAC air-air | Entre 500 € et 4 500 € |
PAC air-eau | Entre 7 500 € et 15 000 € |
Pour une pompe à chaleur géothermique
Revenons maintenant à un autre élément : la terre. En effet, la pompe à chaleur géothermique est de son côté un système de chauffage qui exploite la chaleur naturellement présente dans le sol, pour chauffer une habitation ou produire de l’eau chaude. Cette technologie repose sur un principe simple : le sol conserve une température relativement stable tout au long de l’année, même durant la saison hivernale. En captant cette chaleur, la pompe géothermique permet de chauffer efficacement et de manière écologique.
Le fonctionnement de la pompe à chaleur géothermique repose sur un réseau de capteurs enterrés dans le sol, soit à faible profondeur (capteurs horizontaux), soit en profondeur (capteurs verticaux) dans des forages. Ces capteurs récupèrent la chaleur stockée dans la terre et la transfèrent à un fluide caloporteur, qui circule dans un circuit fermé. Le fluide est ensuite compressé, ce qui élève sa température, et la chaleur ainsi générée est redistribuée dans le bâtiment via des radiateurs ou de planchers chauffants.
L’un des grands avantages de la géothermie est sa stabilité et son efficacité. En effet, contrairement à une pompe à chaleur aérothermique qui dépend des variations de température de l’air, la PAC géothermique puise son énergie dans le sol, où la température est constante toute l’année. Cela en fait un système particulièrement performant, même en plein hiver. Intéressant, n’est-ce pas ?
La partie moins réjouissante (il en faut bien une), c’est que ce type de pompe à chaleur implique des travaux de terrassement ou de forage, qui s’ajoutent à son prix d’achat. Le prix d’achat hors pose d’une PAC géothermique se situe entre 10 000 et 20 000 €.
Pour une pompe à chaleur hydrothermique
Maintenant que nous avons fait le point sur l’air, la terre, il nous reste à voir… 🥁… L’eau ! La pompe à chaleur eau ou hydrothermique exploite en effet la chaleur présente dans les nappes phréatiques ou dans les cours d’eau, pour alimenter un bâtiment en énergie thermique. Ce mode de chauffage repose sur l’utilisation de l’eau, une ressource (elle aussi) naturellement stable en température tout au long de l’année. C’est ce qui permet de garantir un haut rendement énergétique, même lors des périodes les plus froides.
Le fonctionnement de la pompe hydrothermique est similaire à celui des autres types de pompes. Un circuit de captage est installé, généralement dans des forages souterrains, pour pomper l’eau. Celle-ci est ensuite dirigée vers un échangeur thermique qui en extrait les calories. Le fluide frigorigène de la pompe capte ces calories et, par un processus de compression, augmente sa température, qui est ensuite redistribuée sous forme de chaleur à l’intérieur du bâtiment via un réseau de radiateurs, un plancher chauffant, ou un système de ventilation (encore).
L’atout majeur de cette solution de chauffage réside dans son efficacité énergétique. L’eau, qu’elle soit souterraine ou de surface, conserve une température stable et relativement élevée par rapport à l’air, ce qui permet à la pompe de maintenir un rendement constant, même en hiver. Cette stabilité thermique rend le système particulièrement adapté aux grandes installations ou aux bâtiments nécessitant une forte capacité de chauffage.
Cependant, comme pour ce qui est de la PAC géothermique, l’installation d’une pompe à chaleur hydrothermique est complexe et onéreuse. Le forage nécessaire pour accéder à la nappe phréatique ou aux cours d’eau souterrains peut représenter un coût important. Comme pour ce qui est de la PAC géothermique, le prix d’achat hors pose d’une PAC hydrothermique se situe entre 10 000 et 20 000 €.
Le prix de l'installation d'une pompe à chaleur
Vous l’aurez donc compris, le prix d’ installation d’une pompe à chaleur dépend essentiellement de son type, de la configuration de l’habitation et la complexité des travaux à réaliser.
- Pompe à chaleur aérothermique (air-air ou air-eau) : le coût de l’installation d’une pompe à chaleur aérothermique varie généralement entre 3 000 et 5 000 €, selon la taille du système et les modifications nécessaires pour intégrer le système au sein de votre installation de chauffage existante.
- Pompe à chaleur géothermique : l’installation d’une pompe à chaleur géothermique est plus coûteuse en raison des travaux de forage ou de terrassement nécessaires pour installer les capteurs dans le sol. Les coûts d’installation peuvent varier entre 8 000 et 15 000 €, en fonction de la profondeur du forage et de la surface disponible pour les capteurs.
- Pompe à chaleur hydrothermique (eau-eau) : ce type d’installation est également complexe et nécessite des forages pour atteindre les nappes phréatiques. Le coût d’installation d’une pompe à chaleur hydrothermique se situe entre 10 000 et 20 000 €, en fonction de la profondeur des forages et des spécificités du terrain.
On résume les différents prix d’une pompes à chaleur…
Type de PAC | Coût de la PAC seule | Coût moyen de l’installation | Coût total |
PAC air-air | Entre 500 et 4 500 € | Entre 3 000 et 5 000 € | Entre 3 500 et 9 500 € |
PAC air-eau | Entre 7 500 et 15 000 € | Entre 3 000 et 5 000 € | Entre 10 500 et 20 000 € |
PAC géothermique | Entre 10 000 et 20 000 € | Entre 8 000 et 15 000 € | Entre 18 000 et 35 000 € |
PAC hydrothermique | Entre 10 000 et 20 000 € | Entre 10 000 et 20 000 € | Entre 20 000 et 40 000 € |
À noter !
Si des travaux sont nécessaires pour adapter le système de chauffage actuel à la pompe à chaleur, des frais supplémentaires peuvent s’ajouter. De plus, une maintenance annuelle est souvent requise pour garantir le bon fonctionnement de la pompe à chaleur. Ces frais varient entre 150 et 400 € par an.
Quelles aides financières pour réduire le prix d'une pompe à chaleur ?
Les aides nationales : MaPrimeRénov', TVA réduite
Grand seigneur, le gouvernement a mis en place un certain nombre d’aides pour vous aider à remplacer votre ancien système de chauffage par un équipement plus performant et surtout, moins polluant pour la planète. Vous pouvez donc compter sur :
- MaPrimeRénov’ : cette aide nationale, mise en place par l’Agence nationale de l’habitat (Anah), s’adresse aux propriétaires souhaitant réaliser des travaux de rénovation énergétique. Le montant accordé pour l’installation d’une pompe à chaleur peut varier en fonction du revenu fiscal du foyer et du type de pompe à chaleur, avec des aides pouvant aller jusqu’à 4 000 à 11 000 €. En 2024, les aides sont les suivantes :
Type de pompe à chaleur | Ménages aux revenus très modestes | Ménages aux revenus modestes | Ménages aux revenus intermédiaires | Ménages aux hauts revenus |
PAC air-eau (dont PAC hybride) | 5 000 € | 4 000 € | 3 000 € | non éligible |
PAC géothermique et solaire (dont modèle hybride) | 11 000 € | 9 000 € | 6 000 € | non éligible |
- La TVA réduite : pour l’achat et l’installation d’une pompe à chaleur, vous pouvez bénéficier d’une TVA réduite à 5,5 % (au lieu de 20 %) dans le cadre de travaux de rénovation énergétique, à condition que le logement soit achevé depuis plus de 2 ans.
Le RGE : la condition incontournable Bien qu’il existe de nombreuses conditions pour bénéficier d’une aide à l’installation d’une pompe à chaleur, il est toujours nécessaire de passer par les services d’un installateur RGE. La qualification RGE « Reconnu Garant de l’Environnement » est attribuée par l’État à des entreprises et professionnels spécialisés dans la rénovation énergétique et l’installation d’équipements fonctionnant avec une énergie renouvelable. |
Les Certificats d'Économies d'Énergie (CEE)
Les Certificats d’Économies d’Énergie (CEE) sont un dispositif mis en place par l’État afin d’encourager les économies d’énergie sur l’Hexagone. Pour faire court, les CEE reposent sur un système d’obligations imposées aux fournisseurs d’énergie (électricité, gaz, fioul, etc.), aussi appelés les « obligés ». Ces entreprises doivent financer des actions d’économie d’énergie réalisées par des particuliers ou des professionnels pour respecter leurs quotas. En contrepartie, elles délivrent des primes énergie sous forme de subventions ou de chèques, directement versés à ceux qui entreprennent des travaux de rénovation énergétique, comme l’installation d’une pompe à chaleur.
Et vous savez quoi ? Vous pouvez bénéficier d’une prime CEE lors de l’installation d’une pompe à chaleur. Pour cela, vous devez toutefois répondre à certains critères :
- Les travaux doivent concerner une rénovation énergétique dans un logement existant de plus de deux ans. Les pompes à chaleur éligibles sont généralement les pompes à chaleur air-eau, eau-eau ou géothermiques.
- Les travaux doivent être réalisés par un artisan certifié RGE.
- Vous devez monter un dossier avant le début des travaux, en contactant un fournisseur d’énergie ou une entreprise partenaire du dispositif des CEE. Ce dernier s’engage à vous verser une prime sous forme de chèque ou de réduction sur le devis.
Le montant de la prime CEE dépend ensuite de plusieurs facteurs, comme le type de pompe à chaleur installée, les caractéristiques du logement (taille, région climatique, etc.), le fournisseur d’énergie choisi pour vous octroyer la prime…
En général, la prime pour l’installation d’une pompe à chaleur peut atteindre plusieurs centaines, voire milliers d’euros. Par exemple, une pompe à chaleur air-eau peut être subventionnée à hauteur de 2 500 à 4 000 €, selon les critères. Les foyers aux revenus modestes peuvent bénéficier d’un bonus, avec des primes plus élevées.
Enfin, les CEE sont cumulables avec d’autres aides nationales et locales, comme MaPrimeRénov’, la TVA à taux réduit, ou encore l’éco-prêt à taux zéro. Ce coup de pouce permet de diminuer encore davantage le reste à charge pour les travaux d’ installation de la pompe à chaleur.
L'éco-prêt à taux zéro
L’éco-prêt à taux zéro (éco-PTZ) permet de financer les travaux de rénovation énergétique sans avancer de fonds ni payer d’intérêts. Ce prêt, accessible à tous les propriétaires, sans condition de revenus. Il est remboursable sur une durée allant jusqu’à 20 ans, selon le montant emprunté et les modalités de remboursement convenues.
Le plafond de l’éco-prêt à taux zéro dépend du nombre de travaux que vous comptez réaliser chez vous. Vous pouvez ainsi emprunter jusqu’à :
- 15 000 € si vous réalisez un seul poste de travaux ;
- 25 000 € si vous réalisez deux postes de travaux ;
- 30 000 € si vous réalisez trois travaux et plus.
Aide locale et régionale
En plus des aides nationales, de nombreuses régions, départements et communes proposent des subventions spécifiques pour encourager l’installation de pompes à chaleur. Ces aides varient en fonction des zones géographiques et des projets, mais elles peuvent représenter un complément financier significatif. Par exemple, certaines régions offrent des primes supplémentaires pour l’installation de systèmes énergétiques respectueux de l’environnement, pouvant atteindre plusieurs milliers d’euros.
Il est conseillé de consulter les sites des collectivités locales ou de se renseigner auprès de la mairie ou du conseil régional pour connaître les aides disponibles dans votre région.
Vous pouvez également jeter un coup d’œil au site de l’Agence nationale pour l’information sur le logement, qui regroupe bon nombre de coups de pouce en fonction de son lieu d’habitation :
Comment maximiser la rentabilité de votre pompe à chaleur ?
On ne vous l’apprend plus désormais : l’installation d’une pompe à chaleur (PAC) est un excellent moyen de réaliser des économies d’énergie et de réduire vos factures de chauffage. Cependant, pour en tirer le meilleur parti, certaines bonnes pratiques et équipements complémentaires peuvent maximiser sa rentabilité.
Optimisez l'utilisation de votre PAC
Un mot clé pour vous assurer de tirer le meilleur parti de votre toute nouvelle PAC : L’OP-TI-MI-SA-TION ! pour cela, quelques conseils élémentaires s’imposent…
- Régulez la température : l’un des facteurs clés pour maximiser l’efficacité de votre pompe à chaleur est de bien réguler la température de votre habitation. Il est recommandé de maintenir une température stable et modérée dans les différentes pièces. Les variations trop fréquentes de température sollicitent davantage la pompe et augmentent la consommation d’énergie.
Quid des températures idéales On ne le répètera jamais, mais il y a bel et bien des températures parfaites pour votre intérieur et ça, c’est l’Ademe qui le dit ! Dans les chambres, pour bien dormir, c’est 17 °C. N’excédez pas 22 °C dans la salle de bain lorsque vous l’utilisez. Enfin, optez pour une température de 19 à 21 °C (grand maximum) dans les pièces de vie : salon, salle à manger… |
- Programmez les plages horaires : en utilisant un thermostat programmable, vous pouvez adapter le fonctionnement de la pompe à chaleur aux moments où vous êtes chez vous, afin d’éviter de chauffer inutilement lorsque vous êtes absent ou durant la nuit.
- Entretenez régulièrement : pour garantir un fonctionnement optimal, l’entretien de votre pompe à chaleur est essentiel. Un nettoyage des filtres, la vérification des niveaux de fluide frigorigène et un contrôle régulier par un professionnel permettent de maintenir le coefficient de performance de votre équipement sur le long terme.
- Bien dimensionner la PAC : il est fondamental de choisir une pompe à chaleur adaptée à la taille et aux besoins de votre logement. Une pompe sous-dimensionnée ne chauffera pas efficacement, tandis qu’une pompe surdimensionnée entraînera une consommation excessive d’énergie.
Focus sur l’entretien de sa pompe à chaleur
L’entretien régulier d’une pompe à chaleur est essentiel pour garantir son bon fonctionnement, prolonger sa durée de vie et maintenir son efficacité énergétique. Il est à noter que le coût de l’entretien d’une d’une PAC varie en fonction de son type et du prestataire que vous choisissez. Un contrat de maintenance ou contrat d’ entretien annuel oscille entre 150 et 400 € par an, selon qu’il s’agit d’une aérothermique, géothermique ou hydrothermique.
Si vous préférez un entretien sans contrat annuel, une visite ponctuelle peut coûter entre 100 et 300 €. Ce montant varie en fonction de la complexité du système et du type de vérification à effectuer.
Pour les pompes à chaleur qui utilisent plus de 2 kg de fluide frigorigène (principalement les PAC air-eau), la loi impose un entretien obligatoire une fois par an, par un professionnel qualifié. Cet entretien permet de vérifier le circuit de fluide frigorigène, les filtres, et de s’assurer qu’il n’y a pas de fuites. Pour les pompes à chaleur de moindre capacité (comme certaines PAC air-air ou les pompes géothermiques), il est recommandé de réaliser un contrôle tous les deux ans afin de garantir le bon état général de l’installation.
Entre les interventions professionnelles, vous pouvez vous-même vous assurer que la pompe fonctionne bien en :
- Nettoyant régulièrement les filtres (environ tous les trois mois) ;
- Vérifiant que l’unité extérieure (pour les PAC aérothermiques) n’est pas obstruée par des feuilles ou des débris ;
- Surveillant les bruits inhabituels ou les pertes de performance.
Choisissez des équipements complémentaires pour améliorer son efficacité énergétique
Pour maximiser l’efficacité de votre pompe à chaleur, vous pouvez lui associer un plancher chauffant ou des radiateurs basse température. Ces systèmes fonctionnent à une température plus faible que les radiateurs classiques, ce qui permet à la pompe de chauffer à une température plus basse, optimisant ainsi son rendement énergétique.
La rentabilité d’une pompe à chaleur dépend également de la qualité de l’isolation de votre maison. Une bonne isolation des murs, du toit et des fenêtres permet de limiter les pertes de chaleur, ce qui a un impact significatif sur les performances de votre installation en réduisant le travail nécessaire à la pompe pour chauffer votre intérieur.
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En combinant votre pompe à chaleur avec des panneaux solaires, vous pouvez aussi produire de l’électricité pour faire fonctionner la PAC, et ainsi réduire votre dépendance au réseau électrique et optimisant encore davantage vos économies sur la durée.
Enfin, vous pouvez penser au ballon d’eau chaude thermodynamique. Ce dispositif peut compléter votre pompe à chaleur pour chauffer l’eau sanitaire de façon plus économique, en récupérant les calories présentes dans l’air ambiant.
En appliquant ces bonnes pratiques et en investissant dans des équipements complémentaires, vous pouvez maximiser la rentabilité de votre pompe à chaleur, tout en réduisant votre consommation d’énergie et en limitant vos coûts à long terme ! Elle est pas belle, la vie ? 😀
Sources
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